2020 | Les Mille Tiroirs, Pamiers (Ariège)
synesthésiques
Pour une esthetique des sens et des idées
Synesthésie : du grec syn, « avec » (union), et aesthesis, « sensation ».
Avec Manon di Chiappari Amandine Lasa, Camille Marceau, Elena Delvento .
Camille Marceau y présente : Tourner le regard vers l’intérieur
« Une première partie de ce que je présente ici a été réalisée en 2018-2019 alors que je perdais la vue suite à un décollement de la rétine, l’autre est née pendant le confinement du printemps dernier. Le lien entre les deux est le repli et l’isolement, la perte du rapport immédiat aux autres, l’espace qui se rétrécit parallèlement au temps qui s’allonge et se dilate. Un laps de temps qui tourne le regard versl’intérieur. »
2014 | Librairie La femme renard & Les Soirées Crépuscules, Montauban (Tarn et garonne)
Alice
Je cherche la clef, dit Alice... elle n'était pas au pays des merveilles
Les questions de temps, d’espace, de racines et d’enfance se mêlent et se répondent dans ce travail. Un entre-deux, de chagrin et de doute vécu au quotidien. Un ailleurs fait de formes évanescentes, de personnages étranges et masqués en errance dans un univers mental. Un point de vue de l’artiste, comme témoin du temps qui passe, contenant d’une vie intime intérieure et mystérieuse et contenu dans un monde/univers non moins vaste et mystérieux. Un entre-deux…
2011 | Ecole Jacques Brel, Montauban (Tarn-et-Garonne)
Détail des chemins
Routes et racines
Fruit d’une résidence de création d’un an (en 2011), à l’école Jacques Brel de Montauban, projet réalisé par l’association Mû-Temps et soutenu par la DRAC Midi-Pyrénées.
Camille Marceau à travaillé avec une classe de Cliss et de CP/CE1 autour du thème des chemins menant à l’école Jacques Brel. De ce cette résidence de création sont nés un film de 61 minutes et une exposition.
2007 | Le salon reçoit, Toulouse (Haute-Garonne)
Le salon reçoit Camille Marceau
Intérieur nuit - Extérieur jour
Au 274 rue Henri Desbals, à Toulouse, Le salon reçoit le 22 de chaque mois.
En mai 2007, Camille Marceau y présente différents travaux où il est encore une fois question de l’œuvre du temps et de métamorphose.
« Avons-nous le souvenir d’un instant où rien ne bouge ? Pas l’ombre d’un millième de seconde nous ne cessons de muter. Mouvance perpétuelle de la matière. L’être humain ne semble être qu’un contour, une membrane comprimée entre deux univers infinis: intérieur-extérieur. Tout n’est qu’incessante bascule et jamais le mouvement ne cesse. Homme-mutant. » C.M.